lundi 30 juillet 2012

La boutique du bon Dieu

Visitant un pays lointain, un
voyageur passa devant une échoppe sur
laquelle était inscrit « Boutique du
Bon Dieu ».
  Avisant un passant, il lui
demanda ce qu'on vendait dans cette
boutique. Étonné, le passant lui dit
qu'il trouverait Dieu lui-même derrière
le comptoir, qu'il pouvait lui demander
tout ce qu'il désirait et que cela lui
serait accordé. Intrigué, le voyageur
pénétra dans l'échoppe.
  Un homme souriant l'accueillit et lui
demanda ce qu'il désirait. On m'a dit,
répondit le voyageur, avec un ton dubitatif,
que Dieu lui-même tenait cette boutique et
que je pouvais lui demander tout ce que
je désirais. C'est exact, répondit
l'homme derrière le comptoir. Je suis
Dieu. Que désirez-vous ?
  Quelque peu intimidé, le voyageur se
ressaisit. Puisque vous me proposez cela,
je désirerais, pour moi et pour tous ceux
que j'aime, la prospérité, le bonheur,
la sagesse, la... »
  À ce moment, Dieu l'interrompit : On vous
a mal renseigné. Ce ne sont pas des fruits
que je donne, ce sont des graines.

réussir par l'obstacle

  Un jour, une ouverture apparut dans un cocon. Un
  homme s'assit et regarda le papillon naissant se battre
  pendant des heures pour crever son abri et forcer le
  petit trou à s'agrandir. Mais bientôt il sembla à l'homme
  que l'insecte ne progressait plus.
      Il était allé aussi loin qu'il avait pu, mais il ne
  bougeait plus.
      Alors l'homme prit une paire de ciseaux et découpa
  délicatement le cocon pour aider le papillon à sortir.
  Celui-ci émergea facilement. Mais il avait un corps chétif
  et ses ailes froissées étaient atrophiées.
      " Pas grave, il va se développer " se dit l'homme.
  Et il continua à regarder le papillon en espérant qu'il
  déploie ses ailes pour voler.
      Mais cela n'arriva jamais. Le papillon passa le reste
  de sa vie à ramper sur son petit corps, incapable
  d'utiliser ses ailes rabougries.
      Ce que l'homme, dans sa bonté précipitée, n'avait pas
  compris, c'est que le cocon trop serré est une ruse de la
  Nature pour forcer le papillon à le percer et à
  entraîner ses ailes... A cette condition seulement, il peut
  voler.

      Parfois, nos angoisses, nos échecs, nos coups durs sont
  précisément ce dont on a besoin. Si la nature permettait qu'on
  avance dans la vie sans jamais rencontrer aucun obstacle, cela
  nous affaiblirait, nous serions semblables à ce papillon trop
  vite naît à qui la facilité a coupé les ailes.
      La liberté est chèrement acquise... Mais on ne vole pas
  sans s'entraîner un minimum !

" Il faut que le désir soit irrité par des obstacles.
L'homme qui n'a rien à désirer est à coup sûr plus malheureux
que celui qui souffre. "
Le Baron D'Olbach

dimanche 29 juillet 2012

un petit conte

  Il y a fort longtemps, un riche
propriétaire de Luoyang,la capitale
chinoise du papier, demanda au vénéré
patron des papetiers, Cai Lun, de lui
écrire quelque chose sur un bout de
papier, mais pas n'importe quelle
phrase : "une formule positive" qui
assurera la prospérité de toute ma
lignée et qui nous donnera l'envie de
vivre et de nous réjouir !"
  Cai Lun prit une belle feuille en
écorce de chanvre et écrivit. Son
poignet avait juste terminé les lentes
circonvolutions, que le bourgeois
s'empara du papier et lut : "Le Père
meurt, son fils meurt, son petit fils
meurt".
  Furieux, il s'emporta: "Cain
Lun, je t'ai demandé une formule qui
apporterait joie et  prospérité à ma
famille et tu as tracé des lettres de
mort. Je devrais te faire couper  les
mains pour cela !"
  Le papetier sourit:
"ami, ton visage s'enflamme et tu
craches du venin contre le vent.
Écoute: si ton fils meurt avant toi, ce
sera un grand malheur pour toute ta
famille. Si ton petit fils disparaît
avant ton fils, ce sera également un
terrible fardeau à porter pour ta
lignée. Mais si ta famille, génération
après génération, disparaît dans
l'ordre que j'ai décrit, la vie suivra
un cours naturel et l'ordre des choses
sera parfaitement respecté. Car c'est
cela la joie et la prospérité."
  Le bonheur de l'homme ne peut
s'exprimer dans le désordre. Il existe
un cours naturel des choses, un sens,
un ordre. C'est dans cet ordre des
choses que nous nous inscrivons. La
preuve : une des plus grandes tragédies
qui peut nous frapper est la mort de
notre enfant... une disparition qui n'a
rien de naturel car elle survient trop
tôt. Un bonheur, lui, arrive toujours
en son temps.
  Ce petit conte nous rappelle avec
simplicité que la plus grande
prospérité n'est pas dans la possession
des choses matérielles, mais dans la
vie elle-même.

samedi 14 juillet 2012

Dépassez vos limites

Dépassez vos limites

 

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vendredi 13 juillet 2012

bienvenue

Bonjour,

bienvenue sur ce blog!
Je m'appelle Sonia et j'ai décidé
de partager avec vous des astuces et
des conseils profesionnels pour vous aider
a trouver la voie la plus facile et efficace
vers votre réussite quels que soient vos objectifs...